Adopter un chien c’est en devenir responsable, donc responsable aussi de sa bonne santé. Pour cela, il est indispensable de connaître quelques bases essentielles pour la prévention des maladies les plus courantes et éviter d’agir quand il est trop tard.

Contre quelles maladies faut-il vacciner un chien et à partir de quel âge ?
Il est possible de protéger le chien contre les maladies suivantes :
• la maladie de carré
• l’hépatite de Rubarth
• la parvovirose
• la leptospirose
• la piroplasmose
• et bien sûr, la rage

La vaccination débute dès l’âge de 2 mois. La vaccination antirabique (contre la rage) peut être faite dès l’âge de 3 mois. Certaines vaccinations nécessitent des rappels annuels. Pour d’autres maladies, un rappel tous les deux ans suffit.

Comment le protéger contre les puces et les tiques ?
Il existe de nombreux moyens de protection contre les puces et les tiques (parasites les plus courants sur nos animaux domestiques) sous forme de colliers, de pulvérisateurs, de pipettes…
Attention aux tiques au retour de promenade ! Elles peuvent transmettre une maladie très grave : la piroplasmose. Dans les jours qui suivent la présence d’une tique, si le chien semble abattu et que les urines deviennent foncées, une consultation vétérinaire d’urgence est nécessaire !
Comment entretenir le pelage ?
Un brossage régulier dès le plus jeune âge est recommandé. Les bains ne sont pas à donner avant 6 mois. En rythme habituel, leur fréquence maximum conseillée est de un bain par mois, mais il n’est pas interdit de laver votre chien s’il en a occasionnellement besoin un peu plus tôt (s’il s’est roulé dans des excréments par exemple !).
Quelle alimentation choisir ?
Les aliments “industriels” (croquettes et pâtées vendues dans le commerce et chez le vétérinaire) sont bien équilibrés mais ils doivent être adaptés à l’âge et à l’activité du chien. Ils ont été conçus par des nutritionnistes, afin de répondre parfaitement aux besoins spécifiques de chaque animal : protides, lipides, glucides, vitamines, sels minéraux.
Contrairement à l’homme, le chien (comme le chat) n’a pas besoin de varier son alimentation ; au contraire les transitions alimentaires brutales risquent d’entraîner des troubles digestifs.